Quand le régime du Makhzen se transforme en réalisateur de mauvais films : les scénarios absurdes de "complots terroristes" pour sauver une image en ruine

Le régime marocain, connu sous le nom de Makhzen, traverse une période particulièrement difficile, marquée par des crises internes profondes et des échecs diplomatiques retentissants sur la scène internationale. Face à cette situation, le Makhzen semble avoir trouvé un refuge dans la production de "films d’action" mal ficelés, présentant de prétendus "complots terroristes" qu’il aurait héroïquement déjoués. Ces mises en scène, caractérisées par un scénario absurde et une réalisation médiocre, visent à convaincre le monde qu’il est un rempart contre le terrorisme. Pourtant, ces tentatives désespérées peinent à cacher la réalité : une image intérieure et extérieure en plein naufrage.

Un scénario usé et peu convaincant : le "policier de la région"

Chaque fois que le régime du Makhzen se trouve acculé, que ce soit par des protestations internes, des crises économiques ou des échecs diplomatiques comme dans le dossier du Sahara occidental, il ressort le même vieux scénario : annoncer au grand public qu’un "complot terroriste" vient d’être déjoué. L’objectif ? Se présenter comme le "policier de la région", indispensable à la lutte antiterroriste, et redorer son image auprès des partenaires internationaux.

Mais ces mises en scène sont désormais trop évidentes pour tromper qui que ce soit. Ce ne sont que des tentatives d'attirer l’attention mondiale et de maintenir un semblant de contrôle intérieur. En réalité, ces "opérations" sont souvent montées de toutes pièces, avec des preuves douteuses et des narratifs incohérents.

L’Algérie, un modèle de lutte authentique contre le terrorisme

Contrairement à ces tentatives de propagande, l’Algérie incarne un modèle réel et efficace dans la lutte contre le terrorisme. Grâce à une politique rigoureuse et une stratégie de longue haleine, l’Algérie a su déraciner les réseaux terroristes, assécher leurs financements, et garantir la sécurité de son territoire. Les succès de l’Algérie dans ce domaine sont reconnus mondialement, tant par les institutions internationales que par ses partenaires régionaux.

Cette efficacité algérienne agace profondément le Makhzen, qui tente, par tous les moyens, de détourner l’attention et de minimiser les performances de son voisin. Cependant, les chiffres et les faits parlent d’eux-mêmes : alors que l’Algérie mène une lutte crédible et transparente contre le terrorisme, le régime marocain préfère utiliser cette question comme un outil de propagande.

Le double visage du Maroc : soutien et exploitation du terrorisme

L’ironie réside dans le fait que, derrière son masque de "champion de la lutte antiterroriste", le Maroc est souvent pointé du doigt comme un acteur qui favorise indirectement ou directement le terrorisme dans la région.

1. Le trafic de drogue : Le Maroc est le premier producteur mondial de cannabis, et les profits générés par ce commerce illicite sont souvent utilisés pour financer des groupes armés et terroristes en Afrique et ailleurs.

2. Stratégies de déstabilisation : Plusieurs rapports internationaux accusent le Makhzen de soutenir des groupes pour servir ses propres intérêts géopolitiques, notamment dans des pays voisins.

3. Manipulation internationale : En se présentant comme un acteur central dans la lutte contre le terrorisme, le régime marocain cherche à obtenir des avantages politiques et financiers de la part des grandes puissances, tout en jouant un double jeu.

Pourquoi le Makhzen s’accroche à ces mises en scène ?

Les "films" produits par le Makhzen, mettant en scène des complots terroristes imaginaires, répondent à plusieurs objectifs :

• Masquer les échecs internes : Le Maroc est confronté à des crises profondes, notamment la pauvreté, le chômage et les inégalités sociales. En inventant des "menaces extérieures", le régime tente de détourner l’attention de ses propres insuffisances.

• Contenir la colère populaire : À travers ces annonces, le Makhzen cherche à instaurer un climat de peur pour maintenir son contrôle sur la population et justifier la répression.

• Obtenir une reconnaissance internationale : En jouant le rôle de "gardien de la paix" dans la région, le Maroc espère renforcer ses alliances avec les grandes puissances, tout en masquant ses agissements douteux.

Mais cette stratégie a atteint ses limites. De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la manipulation flagrante du régime marocain. Sur le plan international, la crédibilité du Maroc en tant qu’acteur sérieux dans la lutte contre le terrorisme est en déclin.

Un message clair au Makhzen : les Algériens ne sont pas dupes

La différence entre l’Algérie et le Maroc dans la gestion de la lutte contre le terrorisme est flagrante :

• L’Algérie agit avec rigueur et transparence, en s’appuyant sur des actions concrètes et reconnues mondialement.
• Le Maroc, de son côté, s’enlise dans des mises en scène spectaculaires mais sans substance.

Aux dirigeants du Makhzen, un message s’impose : le peuple algérien, tout comme la communauté internationale, est trop intelligent pour se laisser duper par vos scénarios dignes de Bollywood. Si vous cherchez des spectateurs pour vos fictions, c’est là-bas que vous pourriez trouver votre public.

Conclusion : Un régime en quête de crédibilité

Le recours systématique du régime marocain à des scénarios fictifs sur le terrorisme reflète avant tout son incapacité à résoudre ses véritables problèmes internes et à affronter ses échecs sur la scène internationale. Pendant que le Maroc continue de produire des "films", l’Algérie avance sur le terrain avec des résultats tangibles et des succès reconnus.

Le Makhzen doit comprendre que ces manipulations ne feront que ternir davantage son image. Ce dont le peuple marocain a besoin, ce n’est pas de nouvelles histoires de "complots", mais d’un régime capable d’assurer le développement, la justice sociale et la stabilité. Jusqu’à ce que cela arrive, ces "mises en scène" resteront ce qu’elles sont : des tentatives désespérées d’un régime à bout de souffle.