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Soutien inconditionnel à Malik Ayad face aux néo-patriotes internationalistes complices de l’ennemi marocain

Depuis des années, l’Algérie subit une guerre sournoise, une guerre de l’ombre menée par le régime marocain avec la complicité active d’Israël et des Émirats arabes unis. Cette alliance impie fournit à Rabat les moyens techniques, financiers et humains nécessaires pour saper notre souveraineté, déstabiliser notre société et infiltrer nos institutions. Face à cette menace hybride, l’Algérie a réagi avec fermeté : renforcement de la cybersécurité, sensibilisation populaire et mobilisation de l’Armée Nationale Populaire pour contrer les attaques.


Mais l’ennemi, voyant ses plans déjoués, a changé de stratégie. Il ne vient plus en uniforme, mais en clandestin. Il ne frappe plus avec des armes conventionnelles, mais avec des mariages mixtes, une immigration massive et une propagande insidieuse sur les réseaux sociaux. Le Maroc cherche à implanter une cinquième colonne au cœur même de notre société, une armée de l’ombre qui, à terme, influencera nos décisions politiques, diluera notre identité et ouvrira les portes à l’ingérence étrangère.

La trahison des mercenaires algériens sur TikTok et YouTube

Pendant ce temps, une nouvelle race de « patriotes » surgit sur les réseaux sociaux, brandissant des discours de fraternisation avec l’ennemi marocain. Ces mercenaires, dont les financements restent troubles, inondent TikTok et YouTube de vidéos appelant à l’ouverture des frontières, à l’acceptation de l’immigration marocaine et à la normalisation avec un régime qui nous hait.  

Ils osent invoquer la religion, la fraternité arabo-musulmane, pour justifier l’injustifiable. Mais où étaient-ils lorsque le Mossad recrutait des Marocains en France, comme l’a révélé Georges Malbrunot ? Où sont-ils lorsque les manuels scolaires marocains enseignent à leurs enfants à détester les Algériens ? Pourquoi ferment-ils les yeux sur les 1,2 million de Marocains en situation irrégulière en Algérie, alors que leur présence massive pose un risque sécuritaire évident ?  

Ces faux patriotes refusent de poser les vraies questions :  

  • Qui manque de respect à nos martyrs sur les réseaux sociaux ? Est-ce que cela concerne une partie significative de la population marocaine ?
  • Qui participe activement à nier notre existence en tant que nation sur les réseaux sociaux ?
  • Qui vole notre patrimoine culturel et cultuel ?
  • Pourquoi maintenir des ressortissants d’un pays ennemi sur notre sol ?
  • Pourquoi ne pas les renvoyer chez eux pour aggraver la crise sociale et économique d’un régime qui nous inonde de drogues et finance le terrorisme en Afrique ?

Leur silence est une trahison. Leur complaisance est un crime contre la nation.  Les questions soulevées précédemment et le discours de fraternisation avec ceux qui nous attaquent quotidiennement sur les réseaux sociaux nous laissent très perplexes quant aux motivations de ces personnes qui affirment que nous formons un seul et même peuple avec les Marocains.

Ces personnes qui se présentent comme des experts en géopolitique et en guerre cognitive ne peuvent ignorer la nouvelle stratégie marocaine visant à modifier durablement notre tissu social. Le discours de fraternisation avec l'ennemi apparaît donc comme une manœuvre visant à saper les efforts des véritables patriotes pour protéger notre front interne contre la menace marocaine.




Malik Ayad, un rempart contre l’infiltration marocaine

Dans cette bataille, Malik Ayad (Artisan Malik) se dresse comme une voix courageuse, un véritable patriote qui refuse les compromis avec l’ennemi. On l’accuse de radicalisme, de haine envers le peuple marocain. Mensonge ! Malik Ayad a toujours distingué le régime marocain criminel du peuple marocain, bien que cette distinction soit, selon moi, une erreur stratégique.  

Car soyons clairs : le peuple marocain, dans sa grande majorité, est imprégné de la propagande expansionniste de son régime. Les Marocains ordinaires, endoctrinés dès l’école, nourrissent une hostilité profonde envers l’Algérie. Croire qu’ils sont innocents des crimes de leur État est une naïveté dangereuse. L’histoire nous a appris que les peuples suivent souvent leurs dirigeants dans les guerres de conquête.  

Malik Ayad, lui, a le mérite de réveiller les consciences, de dénoncer sans relâche les dangers de l’entrisme marocain. Il ne se laisse pas berner par les faux-semblants de la fraternisation. Ceux qui l’attaquent sont soit des naïfs, soit des complices objectifs du projet marocain de déstabilisation.  

L’urgence d’une union des vrais patriotes

Il est temps de dépasser les débats vains : l’Algérie est en péril. Ces pseudo-militants – de prétendus néo-patriotes internationalistes, sans aucune expérience de terrain – s’emploient à réduire au silence les voix authentiques, celles qui œuvrent pour la nation depuis plus de dix ans. Ils veulent faire passer un agenda qui ne sert que Rabat et ses alliés sionistes.

Il est profondément affligeant – pour ne pas dire révoltant – de constater que les grandes tribunes médiatiques algériennes se voient aujourd’hui accaparées par des figures fraîchement parachutées dans le débat public, pendant que nos véritables défenseurs, ceux qui portent la voix du peuple avec constance et intégrité, sont relégués aux marges du discours, dans un silence qui interroge et indigne.

J’en appelle solennellement aux chaînes de télévision, aux stations de radio, à tous ceux qui façonnent l’opinion publique : prenez la peine, par respect pour votre audience, d’examiner avec rigueur le parcours, les engagements et les antécédents de ceux que vous choisissez d’inviter. Comment peut-on accorder une telle visibilité à des individus qui, sous couvert d’expertise, ont alimenté – parfois subtilement, parfois avec une franchise glaçante – un discours de haine à l’égard de nos régions berbérophones ? Faut-il rappeler, à titre d’exemple, la scandaleuse mise en lumière de l’ouvrage toxique « Berbère de Sion » de Hafsa Kara-Mustapha, que certains n’ont pas hésité à promouvoir comme s’il s’agissait d’une œuvre de référence ?

Parmi ceux qui s’attaquent aujourd’hui à notre frère Malik Ayad, figure droite et constante dans ses engagements, se cache une galerie d’opportunistes : des géopolitologues autoproclamés dont les écrits encensent le roi du Maroc avec une ferveur qui confine à la propagande – n’hésitant pas à présenter ce dernier comme un modèle de gouvernance, auréolé d’un prétendu doublement du PIB marocain ; mais aussi des figures politiques en mal de reconnaissance, recalées dans plusieurs scrutins municipaux et nationaux en France, qui semblent désormais chercher dans le tumulte algérien une tribune de substitution.

Leur trajectoire – marquée par des revirements incessants, des engagements à géométrie variable, et un opportunisme à peine dissimulé – contraste de manière saisissante avec la droiture, la constance et la loyauté de Malik Ayad envers ses convictions. Cette opposition frontale mérite d’être interrogée : que redoutent-ils tant chez cet homme intègre ? Quels intérêts défendent-ils réellement, derrière leurs prises de parole feutrées ?

Il nous faut nous rassembler, nous les nationalistes authentiques, nous les résistants sincères, pour contrer cette offensive. Soutenir Malik Ayad, c’est défendre notre souveraineté. Refuser une immigration marocaine massive, c’est préserver notre cohésion sociale. Dénoncer ceux qui appellent à la fraternisation avec l’ennemi, c’est sauver l’Algérie de la subversion.


Par Belgacem Merbah




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