Réponse à la propagande du 360 : la libération de Boualem Sansal, un acte souverain déformé par la rancune marocaine
L’article publié par Le360 sous le titre “L’écrivain Boualem Sansal libre : la pitoyable capitulation du régime d’Alger” illustre une fois de plus la logique obsessionnelle de la propagande marocaine : falsifier, exagérer, inverser les faits pour masquer les propres échecs du régime du Makhzen. Ce texte n’est pas une analyse : c’est une projection maladive , un exercice de communication dicté par la frustration d’un pouvoir qui voit, chaque jour, la diplomatie algérienne gagner en stature pendant que la sienne s’enlise dans les allégeances et les illusions. 1. Un acte souverain présenté comme une faiblesse Contrairement à ce que prétend Le360, la grâce présidentielle accordée à Boualem Sansal ne relève ni d’une “capitulation” ni d’un “marchandage”, mais d’un acte souverain et maîtrisé. Condamné pour des propos portant atteinte à l’unité nationale — en suggérant que l’ouest de l’Algérie appartiendrait au Maroc — Sansal a été jugé selon la loi, dans le respect des procédures judiciaires...