L’État algérien coupable de haute trahison envers la nation algérienne : l’enseignement sélectif de l’histoire a rendu notre peuple vulnérable et impréparé à la guerre de 4ᵉ et 5ᵉ génération menée par le Maroc contre l’Algérie.
La propension naturelle de la monarchie marocaine à la traitrise ne date pas d'hier comme en témoigne un article du New-York Times de février 1873, affirmant que la défaite de l'Émir Abdelkader n'est "pas due à la prouesse des armes françaises", mais à la trahison dont il a été victime de la part du sultan marocain, Abderrahmane qui s'est allié à la France pour l'encercler.
L’objet de cet article n’est pas
n’énumérer la longue liste des trahisons marocaines qui ont commencé avec la
trahison de Bocchus envers le roi Jugurtha, en passant par la trahison de
l’émir Abdelkader, il y a eu aussi le rôle des Marocains dans les massacres du 8
mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, sans oublier l’avion du FLN qui a été
détourné le 22 octobre 1956 ou encore l’utilisation honteuse de la révolution
algérienne par le sultan Mohamed V pour faire pression sur la France pour
obtenir des avantages pour le Maroc.
Toutes les trahisons évoquées
plus haut ne sont pas enseignées aux enfants algériens dans les écoles
algériennes, car les dirigeants algériens souhaitaient préserver une fraternité
qui n’a jamais existé entre les peuples algériens et marocains. Cette naïveté
incompréhensible côté algérien est en contraste avec les programmes scolaires
marocains qui ont préparé les enfants marocains à haïr l’Algérie accusée
d’occuper des territoires marocains (NDLR les wilayas de Tindouf et Bechar que
le Maroc considère faire partie des frontières authentiques du Maroc).
Lorsqu’on regarde les livres scolaires marocains, nous pouvons constater qu’il
n’y a pas de frontières entre Figuig et Tindouf, pour enseigner aux enfants
marocains que le Maroc devra « récupérer » ce qu’ils appellent le
Sahara oriental.
D’un autre côté, les dirigeants
algériens n’ont jamais jugé utile d’enseigner aux jeunes algériens les
frontières authentiques de l’Algérie : Oued Moulouya à l’ouest et Oued
Noun au sud-ouest. La majorité des Algériens ne savent pas que des villes comme
Oujda ou Figuig ont toujours été algériennes et que la France a offert au Maroc
en 1845 plus de 100,000 km² de territoires algériens pour récompenser Moulahoum
Abderrahmane d’avoir trahi l’Émir Abdelkader.
Aujourd’hui, après 62 ans
d’indépendance, le ministère de l’Éducation nationale algérien a créé des
générations de naïfs qui croient avec beaucoup d’innocence que le peuple
marocain est un peuple frère. Ce discours est malheureusement relayé par le
premier magistrat du pays qui a récemment affirmé que le peuple marocain est un
peuple frère et que le problème de l’Algérie est avec le régime marocain. Mais
prenons un peu de recul, est-ce qu’un peuple qui croit profondément que les
wilayas de Tindouf et Bechar sont marocaines peut être considéré comme
frère ? Est-ce qu’un peuple qui vole notre patrimoine culturel et cultuel
peut être considéré comme frère ? Est-ce qu’un peuple qui insulte sur les
réseaux sociaux nos martyrs peut être considéré comme frère ?
À la lumière des éléments
évoqués, nous pouvons dire à minima que la politique d’enseignement de
l’Histoire est un échec total en Algérie, car le rôle de l’école est de
préparer le peuple algérien à affronter les défis qu’il doit rencontrer en lui
enseignant son Histoire, afin qu’il apprenne à connaître ses amis, mais surtout
ses ennemis, pour protéger par exemple le tissu social algérien de toute
infiltration d’un corps ennemi qui pourra porter atteinte à la cohésion de la
nation algérienne à moyen et long terme. Ces choix hasardeux et catastrophiques
mettent l’Algérie de 2024 en difficulté, face à un Maroc qui a bien préparé son
peuple, et ce, depuis son indépendance en 1956 à un affrontement qui parait
aujourd’hui inéluctable.
Le Maroc, conscient de son
infériorité sur le plan militaire, mise tout sur l’infiltration du tissu social
algérien en envoyant des centaines de milliers d’immigrés marocains en Algérie,
afin qu’ils se marient et changent durablement notre tissu social national.
Il est vrai que les médias
officiels algériens essayent d’informer le peuple algérien sur les réalités du
régime marocain, mais toutes ces récentes initiatives ne sont pas suffisantes,
si l’on ne revoit pas profondément les programmes scolaires algériens, afin
d’enseigner aux générations futures la nature de nos ennemis et de la préparer
contre leurs plans machiavéliques expansionnistes.
Nous espérons qu’il y aura une
prise de conscience des autorités algériennes sur le danger marocain, on doit
revoir nos programmes scolaires pour immuniser les jeunes algériens face au
discours marocains qui essayent d’infiltrer notre société, nous devons aussi
revoir notre constitution et y ajouter une mention à nos frontières
authentiques que nous devons récupérer, car notre indépendance n’est toujours
pas complète si plus de 100,000 km² de la terre de nos ancêtres sont toujours
occupés par l’ennemi marocain.
Depuis la nuit des temps ce peuple marocain mal saint soumis pervers inculte sodomite n a fait que trahir l Algérie le pays des femmes Enfants et hommes fière et digne
RépondreSupprimerVive les algériens peuple fière et digne 💪🇩🇿
Il est faux d'affirmer avec certitude que l'amitié des peuples n'existe pas. Les peuples ne vivent pas sur le même diapason que leurs gouvernants. Que le makhzen enseigne la haine à sa population c'est son problème, ne tombons pas dans ce piège malsain. Un peuple fort se dégrade a utiliser ce genre de méthodes dignes des diseuses des hammams.
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