L’agent de Rabat à Paris… Parrain du terrorisme séparatiste et infiltré du palais : Mustapha Bouizid dit « Aziz »
La conspiration n’est plus une rumeur chuchotée dans l’ombre ou un secret murmurée derrière les murs. Elle est désormais nue, étalée au grand jour, fièrement exhibée par ses architectes. Ce que révèlent les enquêtes, les aveux et les documents fuités ne souffre d’aucune ambiguïté : le mouvement MAK, classé organisation terroriste en Algérie, n’agit pas seulement sous l’impulsion de lobbies coloniaux français ou des services sionistes, mais bénéficie aussi du soutien actif de mains marocaines tachées de trahison et de soumission. À leur tête : Mustapha Bouizid, dit « Aziz », l’un des agents les plus dangereux du Makhzen en Europe, une vitrine sordide de la DGED (renseignement extérieur marocain).
Aziz… un « opposant » qui affiche le portrait de Mohammed VI sur son bureau !
Quelle farce grotesque ! Quel esprit sensé peut croire que ce charlatan, qui prétend s’opposer au régime du Makhzen, accroche fièrement le portrait du roi du Maroc dans son bureau parisien, comme l’esclave qui vénère l’effigie de son maître ? Cela ne suffit-il pas à dévoiler sa véritable loyauté et à mettre à nu sa mascarade ? Il clame en public un discours de réforme et de « nouveau Maroc », tandis qu’il œuvre dans l’ombre à toutes les formes de trahison, d’espionnage et de sabotage. Il a fondé un mouvement douteux baptisé « Maroc de Demain », non pas par amour de la démocratie, ni par volonté de changement, mais comme couverture à des opérations de renseignement sales et pour redorer l’image du régime marocain auprès de l’opinion occidentale. Et pendant ce temps, il garde un silence complice sur les prisonniers du Rif, la corruption du palais ou l’occupation du Sahara.
Des salons africains aux affaires d’otages : un agent aux visages multiples
Mustapha « Aziz » n’est pas un simple clown politique. Il est la pointe de la lance de la guerre sale que mène le Makhzen hors de ses frontières. Il a utilisé son influence et ses connexions en Afrique, se présentant comme conseiller officieux de dirigeants comme Omar Bongo ou Laurent Gbagbo, non pas pour œuvrer au bien commun, mais pour espionner et tisser des réseaux d’allégeance au profit de Rabat. Pire encore, au début des années 2000, il s’est mêlé de l’affaire de l’enlèvement des journalistes français en Irak, intervenant sans aucune légitimité officielle, fournissant même un avion présidentiel sénégalais à une délégation française — une opération qui dévoile l’ampleur de son infiltration dans les cercles de décision occidentaux.
Le MAK : la carte sale entre les mains des agents de Rabat
Mais ce qui fait bouillir le sang des Algériens patriotes, c’est la révélation de l’implication directe de ce marocain dans le financement et l’animation du mouvement terroriste MAK. Depuis Paris, où les séparatistes sont autorisés à circuler librement sous la bannière des « droits de l’homme », Mustapha Bouizid orchestre un réseau de subversion qui vise l’unité de l’Algérie et sa sécurité nationale. Ce n’est plus un secret : communications documentées, financements avérés, coordination politique, campagnes médiatiques… tout est entre les mains de la DGED, de ses relais français et de ses partenaires sionistes.
Sa proximité notoire avec l’avocat sioniste William Goldnadel — qui a défendu un membre du MAK recherché par la justice algérienne — expose une nouvelle facette de ce sinistre personnage. Quant à ses relations avec Claude Guéant, figure centrale du régime sarkozyste empêtré dans le scandale du financement libyen, elles ne font que renforcer les soupçons sur l’agenda réel de ce « Aziz » vendu au plus offrant.
Conclusion : L’Algérie ne se taira pas… et ses ennemis iront en enfer !
Les vérités tombent comme feuilles mortes, révélant que le MAK n’est ni un mouvement local, ni un cri de révolte, mais un outil infâme dans les mains des services de Rabat, de Tel-Aviv et de Paris pour frapper l’Algérie de l’intérieur. À ceux qui s’accrochent encore à l’illusion de l’« innocence » de cette organisation, qu’ils scrutent bien les visages qui la défendent, et qu’ils décryptent les intérêts de ceux qui la financent.
L’Algérie, terre des martyrs, ne pliera jamais face aux complots des capitales hostiles, ni devant le chantage des agents, qu’ils soient revêtus de passeports étrangers ou couverts de médailles pseudo-humanitaires. Et que Paris sache une chose : la patience de l’Algérie n’est pas faiblesse, et protéger le terrorisme sur son sol, sous couvert de « droit d’asile », c’est déclarer une hostilité ouverte.
Celui qui foule le sol algérien sans respect en paiera le prix. Et celui qui complote contre son unité, sera brûlé par le feu du patriotisme algérien.
L’Algérie est une et indivisible… Gloire et éternité à nos valeureux martyrs.
Par Belgacem Merbah
Tous les algériens savent que le MAK est une organisation terroriste soutenu et financer par la france, le Maroc et l'entité dioniste
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