Accéder au contenu principal

Triomphe de l’Algérie à l’Union africaine : L’éthique diplomatique terrasse la corruption marocaine

L’élection de Mme Selma Malika Haddadi au poste de vice-présidente de la Commission de l’Union africaine (UA) n’est pas qu’une victoire électorale : c’est un camouflet infligé à une diplomatie marocaine gangrenée par la corruption, le chantage et l’immoralité. Avec 33 voix écrasantes, l’Algérie s’impose haut la main, tandis que le Maroc, empêtré dans ses manœuvres douteuses, essuie une humiliation retentissante.


Ce scrutin consacre la supériorité d’une diplomatie noble, intègre et fidèle aux valeurs panafricaines, contre une politique marocaine fondée sur l’intrigue, la manipulation et la perfidie. Plus qu’une simple élection, cette débâcle du Maroc marque un point de rupture historique : l’Afrique n’est plus dupe. Le masque est tombé, révélant au grand jour la vraie nature du régime marocain, prêt à toutes les bassesses pour asseoir une influence illusoire.

L’Algérie, bastion de la dignité et du panafricanisme

Madame Haddadi n’a pas triomphé par hasard. Son parcours, jalonné de missions cruciales et de responsabilités majeures, témoigne d’une compétence indiscutable et d’un engagement sans faille pour le développement et l’unité de l’Afrique.

Face à une candidate marocaine qui ne comptait que sur les stratagèmes de son régime, Mme Haddadi s’est imposée par son mérite, sa vision et son attachement indéfectible aux idéaux panafricains. Son programme repose sur des principes inébranlables :

  • Une gouvernance transparente et efficace de l’UA
  • Le renforcement de l’unité africaine face aux ingérences étrangères
  • L’éradication des pratiques néocoloniales et corruptrices
  • Une coopération africaine fondée sur le respect mutuel et l’intégrité

Cette victoire est celle d’une Afrique souveraine et digne, refusant de se plier aux méthodes de corruption et d’intimidation employées par certains États.

La déroute du Maroc : Un empire de mensonges qui s’effondre

Le Maroc, habitué à imposer sa volonté par des moyens inavouables, croyait pouvoir une fois de plus s’acheter une victoire. Mais cette fois, les dirigeants africains ont dit non.

Ce revers cuisant est la conséquence directe de l’effondrement d’une diplomatie fondée sur la manipulation. Il ne fait que confirmer ce que beaucoup savaient déjà : le régime marocain ne recule devant rien pour parvenir à ses fins, usant de stratagèmes vils tels que l’espionnage avec Pegasus, le chantage, et la corruption massive.

Mais l’Afrique n’est plus le terrain de jeu des manœuvres marocaines. En rejetant catégoriquement sa candidate, les États du continent ont envoyé un message limpide : l’époque de la diplomatie des pots-de-vin et des combines sordides est révolue.

Un tournant historique pour l’Union africaine et l’Afrique

L’élection de Mme Haddadi redéfinit les rapports de force au sein de l’UA. Désormais, les principes triomphent sur les complots, et l’engagement authentique supplante l’opportunisme cynique.

L’Algérie, à travers cette victoire, réaffirme son rôle de phare du panafricanisme, de défenseur de la justice et de l’indépendance des nations africaines. Pendant que le Maroc s’enlise dans ses intrigues, l’Algérie avance avec honneur, portée par une diplomatie de conviction et de valeurs.

Ce jour marque le début d’une ère nouvelle, où l’Afrique refuse d’être l’otage des forces de la corruption et du néocolonialisme. La victoire de l’Algérie est celle d’un continent qui se lève, refusant désormais de plier sous le poids des compromissions et des manipulations.

L’histoire retiendra que le 10 février 2024, l’Afrique a choisi l’honneur et rejeté la perfidie.




Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La CIA déclassifie un document qui permet de comprendre les véritables motivations du Maroc dans la guerre des sables de 1963

Le 23 août 1957, un document confidentiel de la CIA a été rédigé, dévoilant des éléments cruciaux sur la politique française vis-à-vis de l’Algérie, alors en pleine guerre d’indépendance. Récemment déclassifié, ce document éclaire d’un jour nouveau les intentions de la France concernant les zones pétrolifères sahariennes et ses stratégies post-indépendance. À travers des manœuvres diplomatiques, économiques et géopolitiques, Paris cherchait à préserver son contrôle sur cette région stratégique. Un Sahara Algérien Indispensable à la France Selon ce document, la France considérait le Sahara algérien comme un territoire d’une importance capitale, non seulement pour ses ressources pétrolières et gazières, mais aussi pour son positionnement stratégique en Afrique du Nord. Dans cette optique, Paris envisageait de maintenir coûte que coûte sa mainmise sur la région, en la dissociant administrativement du reste de l’Algérie. Cette politique s’est concrétisée en 1957 par la création de deux dép...

Supériorité des F-16 marocains sur les Su-30 algériens : Un déséquilibre stratégique inquiétant ?

Le rapport de force militaire entre le Maroc et l’Algérie constitue un enjeu stratégique majeur en Afrique du Nord. Depuis des décennies, les deux nations s’engagent dans une course à l’armement, mettant un accent particulier sur la modernisation de leurs forces aériennes. Cependant, une nouvelle dynamique semble se dessiner avec la montée en puissance de l’aviation marocaine, renforcée par l’acquisition des F-16V Block 70 , livrés en 2023, et des missiles AIM-120C/D . Pendant ce temps, l’Algérie peine à moderniser sa flotte de Su-30MKA, toujours limitée par l’absence de missiles longue portée de dernière génération , ce qui pourrait progressivement redéfinir l’équilibre aérien dans la région. Cette asymétrie soulève plusieurs préoccupations : Le Maroc pourrait exploiter cet avantage pour adopter une posture plus agressive , comme ce fut le cas par le passé. L'Algérie se retrouve exposée à une éventuelle suprématie aérienne marocaine , en particulier dans un scénario de conflit. Le...

Le Mythe du Soutien Marocain à la Révolution Algérienne : Une Histoire de Calculs et d’Opportunisme

L’histoire des relations entre le Maroc et la Révolution algérienne est souvent déformée par une propagande soigneusement entretenue par le régime marocain. Cette version des faits présente Mohamed V comme un allié indéfectible du peuple algérien dans sa lutte pour l’indépendance. Pourtant, une analyse minutieuse des événements démontre que ce soutien n’était ni désintéressé, ni motivé par une réelle solidarité. Il s’agissait avant tout d’un levier diplomatique visant à consolider le pouvoir du souverain marocain et à servir les ambitions territoriales du royaume chérifien. Un Soutien Dicté par des Intérêts Stratégiques Lorsque la Guerre d’Algérie éclate en 1954, le Maroc, fraîchement indépendant depuis 1956, se trouve dans une position délicate. Mohamed V cherche à asseoir son autorité dans un pays encore fragile, marqué par des tensions internes et des incertitudes quant à son avenir politique. Dans ce contexte, le soutien à la lutte algérienne contre la France devient un outil de né...