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Affichage des articles du septembre, 2024

La CIA déclassifie un document qui permet de comprendre les véritables motivations du Maroc dans la guerre du sable de 1963

La récente déclassification d'un document de la CIA, datant du 23 août 1957, apporte un éclairage nouveau sur les intentions françaises concernant les zones pétrolifères en Algérie et les plans pour l'Algérie post-indépendance. Ce document offre des détails précieux sur les stratégies économiques et politiques françaises, ainsi que sur les dynamiques géopolitiques de l'époque. Les Intentions Françaises pour le Sahara Algérien Selon le document, la France avait l’intention de conserver à tout prix le Sahara algérien, qu’elle prévoyait de diviser en deux départements distincts. Cette décision reflète l'importance stratégique de cette région riche en ressources naturelles pour la France. Le Sahara, avec ses vastes réserves de pétrole et de gaz, représentait un enjeu économique majeur. Stratégie d'Infrastructure et Coopération avec l'Espagne La France ne prévoyait pas de construire des gazoducs ou des oléoducs vers le nord de l'Algérie, afin d'éviter toute d

Manar Slimi, une imposture marocaine

Depuis plusieurs années, le dénommé Manar Slimi mène une guerre sans merci, à tout ce qui est algérien (peuple, culture, héritage cultuel, patrimoine, etc.). L’autoproclamé chef de file de la « pensée » Ayachite (*), n’est qu’un exécutant des services marocains. Cet élément zélé des services marocains ne recule devant rien pour salir l’image de l’Algérie : non-respect de l’éthique scientifique, mensonges, manipulations d’images, diffamations, insultes, brimades, etc... Toutes les méthodes sont bonnes pour faire passer l’Algérie pour un pays arriéré, un pays qui serait loin de la modernité, du bon goût et des standards internationaux de liberté d’expression et liberté d’association. La plus grande faille et faillite de cette propagande marocaine contre l’Algérie, réside dans le fait que la plupart des arguments et/ou éléments de langages utilisés contre l’Algérie, sont non seulement factuellement faux, mais s’appliquent parfaitement à ce qui se passe au Maroc. Nous avons affaire à des p

Faut-il redouter la menace de l'entité sioniste contre l'Algérie, et est-elle réellement nouvelle?

L'hostilité de l'entité sioniste envers l'Algérie n'est ni récente ni liée aux circonstances actuelles. Elle remonte à longtemps, dès la création de l'entité sioniste en 1948. Les racines de cette animosité semblent remonter au décret Crémieux de 1870, qui accordait la citoyenneté française aux Israélites indigènes d'Algérie, perturbant ainsi gravement la cohésion nationale algérienne. Ce décret est encore perçu aujourd'hui par les Algériens comme une trahison inacceptable et impardonnable. 1) Histoire de l’hostilité de l’entité sioniste envers l’Algérie Le premier chapitre de l'animosité sioniste à l'égard des Algériens trouve son origine durant la guerre d'Algérie, notamment à Constantine, dans l'est du pays. C'est là que le Mossad a affronté avec une extrême violence le FLN. Le quotidien israélien Maariv révèle ainsi que l'agent Avraham Barzilai a rompu le silence sur son passé au service des renseignements israéliens en Algérie. E

Les relations algéro-marocaines à travers le prisme médiatique et les tentatives de médiation pilotées par le Maroc

Le 24 août 2021, l’Algérie a pris une décision historique en rompant officiellement ses relations diplomatiques avec le Maroc. Ce geste, perçu comme une réponse directe aux actions hostiles menées par le Maroc, met en lumière une série de tensions politiques, historiques et géopolitiques qui empoisonnent les relations entre les deux voisins depuis des décennies. Cette synthèse explore les raisons majeures de cette rupture, en intégrant les dynamiques médiatiques, les tentatives infructueuses de médiation, et les griefs historiques accumulés contre le Maroc. Les relations entre l’Algérie et le Maroc sont historiquement marqués par des tensions géopolitiques, notamment en raison du conflit du Sahara occidental et des rivalités politiques profondes. Ce climat de méfiance est exacerbé par la couverture médiatique des deux côtés, où les médias marocains jouent un rôle clé en entretenant une obsession envers l'Algérie, tandis que les tentatives marocaines de recherche de médiations int

Analyse Opérationnelle d’un Conflit Hypothétique entre l’Algérie et le Maroc

Cet article analyse de manière opérationnelle et objective les éventualités d'un conflit militaire entre l'Algérie et le Maroc, sans intervention étrangère. Il se concentre sur les capacités militaires, les potentiels scénarios de conflit et les implications stratégiques pour les deux nations. La méthodologie repose sur une évaluation comparative des forces armées des deux pays, des considérations géopolitiques et des scénarios hypothétiques basés sur des précédents historiques et des doctrines militaires actuelles.

Comparaison des Capacités Opérationnelles du F-16 Fighting Falcon et du Sukhoi Su-30 : Une Analyse Stratégique

L'aviation militaire moderne repose sur des chasseurs multirôles capables d'exécuter une variété de missions. Le F-16 Fighting Falcon, conçu par les États-Unis, et le Sukhoi Su-30, développé en Russie, représentent deux philosophies de conception et d'emploi des forces aériennes. Cet article examine les caractéristiques techniques, les capacités de combat et les applications stratégiques de ces deux avions afin de comprendre leurs avantages et inconvénients respectifs. 1. Historique et Contexte de Développement F-16 Fighting Falcon Le F-16 a été développé par General Dynamics (maintenant Lockheed Martin) dans les années 1970 dans le cadre du programme Lightweight Fighter de l'US Air Force. Conçu pour être un chasseur léger et agile, il a été rapidement adopté par de nombreuses forces aériennes dans le monde. Sukhoi Su-30 Le Su-30 est une évolution du Su-27 Flanker, conçu par le bureau de conception Sukhoi. Le développement du Su-30 a commencé dans les années 1980, avec

L'Algérie et la Banque des BRICS : Une Nouvelle Ère de Coopération et de Développement

Le ministère des Finances a annoncé samedi soir que la Nouvelle Banque de Développement, affiliée au groupe des BRICS, a approuvé l'adhésion de l'Algérie à l'institution. La décision a été prise lors de la neuvième réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la banque, tenue à Cape Town en Afrique du Sud. Le ministère a expliqué que l'adhésion de l'Algérie représente une étape importante vers l'intégration dans le système financier mondial, faisant de l'Algérie le neuvième pays à rejoindre la banque. Le ministère a souligné que cette adhésion résulte d'une évaluation rigoureuse basée sur la solidité des indicateurs macroéconomiques de l'Algérie. La présidente de la banque, Dilma Rousseff, a également confirmé que l'Algérie avait obtenu l'approbation pour devenir membre, à la suite d'une rencontre en avril dernier entre le ministre des Finances, Laaziz Faid, et elle, en marge des réunions de printemps du Groupe de la Banque mondiale et