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Le Mossad (Entité sioniste), la DGSE (France) et la DGED (Maroc) s’alignent dans une réunion à Tel Aviv, avant de passer à l’action

Selon le quotidien algérien El-Khabar qui dit s’appuyer sur des sources fiables et autorisés (i.e. les services de renseignements algériens), des officiers d’intelligence israéliens (Mossad), français (DGSE) et marocains (DGED) se seraient réunis à Tel Aviv ce lundi 29 mai 2023, afin d’instruire un unique sujet à l’ordre du jour de cette réunion : déstabiliser l’Algérie et la Tunisie.  Le plan tripartite prévoirait des actions de déstabilisation visant l’unité nationale dans plusieurs wilayas algériennes, en particulier, les wilayas d’Alger, Oran, Tizi-Ouzou et Béjaïa.


La réputation du quotidien El-Khabar et sa proximité avec certains milieux autorisés, nous pousse à prendre très au sérieux ces informations qui semblent être précises et circonstanciées, la source d’El-Khabar donne même le nombre d’officiers de renseignements français et marocains impliqués dans cette réunion (5 officiers français et 14 officiers marocains). Cette information nous rappelle que notre pays est sous la menace sioniste depuis 1977, à cause du refus de notre pays d’accepter le déshonneur des accords de Camp David avec l’entité sioniste. Depuis la fin des années 70, l’entité sioniste n’a épargné aucun effort pour nuire à notre pays : tentative de bombarder le Club des Pins, décennie noire, émeutes de Gharadïa, etc.



Quel est le plan sioniste pour détruire l’Algérie ?  

Après que les sionistes aient essayer plusieurs méthodes de déstabilisation qui se sont avérées non concluantes, Israël a décidé, depuis 10 ans, de changer de stratégie en investissant massivement dans le MAK (financement direct) et RACHAD (financement indirecte via le Qatar et les Émirats), d’une part et aussi dans le mouvement raciste anti-kabyle en Algérie d’autre part. L’idée est de préparer tous les ingrédients pour l'avènement d'un conflit ethnique en Algérie entre arabes et kabyles.  

Cette stratégie n’est pas nouvelle, elle a déjà été utilisée en Bosnie et au Rwanda : le modus operandi consiste à créer un climat de tension entre les communautés en diffusant des messages de haine et en utilisant le mensonge parfois pour expliquer à la majorité (les arabes) qu’une minorité (les kabyles) contrôle le pouvoir politique et économique. C’est exactement ce que Naïma Salhi, Benkoula, Chouchane, Khetel, Boudjerboua, Oussama Ouahid, Zaïm et d’autres sinistres personnages appartenant au même courant de pensée raciste que Naima Salhi ont fait de manière méthodique depuis plusieurs années, et ce en toute impunité et sans l'intervention de la justice algérienne.

En face, nous avons le MAK qui compte aussi dans ses rangs des islamophobes et des racistes notoires qui tiennent des discours suprématistes et utilisent allégrement le fruit du travail des racistes anti-kabyles pour renforcer leurs rangs et appuyer la rhétorique d’une prétendue impossibilité de cohabiter avec des arabes, car ces derniers voudraient anéantir physiquement et culturellement les habitants de la Kabylie.

Cette stratégie est déconcertante par sa simplicité, mais malheureusement, elle fonctionne très bien et est sur le point d’aboutir si l’état algérien n’intervient pas rapidement pour déclarer les racistes anti-kabyles mouvement terroriste comme cela a été le cas pour le MAK et RACHAD.

L’objectif recherché par l’entité sioniste et ses acolytes (France et Maroc) est de diviser l’Algérie (cf. figure ci-dessous), afin que les micro-états algériens reconnaissent l'entité sioniste et que le contrôle des richesses naturelles de l'Algérie soit facilité.

Pour pouvoir y arriver, la seule solution est de recourir au droit d’ingérence « humanitaire » très cher au cœur de Bernard Henri Levy. Le scénario est de déclencher des affrontements sanglants entre communautés arabes et kabyles dans 4 grandes villes algériennes dont 2 où les arabes sont majoritaires (Alger et Oran) et 2 autres où les kabyles sont majoritaires (Tizi-Ouzou et Béjaïa). Ces affrontements seront l’alibi parfait pour que la "communauté internationale" d’exige une intervention étrangère: les différentes populations n’auront plus confiance dans les institutions algériennes pour trouver une solution équitable et durable. 

Les kabyles expliqueront que les racistes anti-kabyles ont pu insulter et diffamer toute une région en toute impunité pendant plusieurs années sans que la justice algérienne n’intervienne pour mettre fin à ces agissements. 

Les arabes quant à eux diront qu’ils ne font pas confiance à l’état algérien, car les kabyles sont infiltrés dans toutes les strates du pouvoir politique et économiques.


Que doit-on faire pour empêcher le plan sioniste ?

La menace est réelle, tous les ingrédients d’un dérapage sont réunis : nous avons 2 camps qui se haïssent, nous avons 1,2 millions d’immigrés marocains en Algérie qui peuvent servir d’agents provocateurs pour déclencher des affrontements entre les 2 camps. De plus, chaque camp est soutenu par des puissances étrangères très influentes sur la scène internationale.

Ce qui renforce la criticité de la situation, c’est que la majorité du peuple algérien n’a pas pris la mesure du danger. Il est important que chaque citoyen comprenne que l’heure est grave, nous devons redoubler de vigilance pour faire barrage aux discours de la haine quel qu’en soit l’origine. Il est important aussi de sensibiliser le peuple algérien sur ce danger qui guette le pays, car le projet de partition existe et est prêt à être exécuté.

Puisse Allah protéger notre mère patrie.



Commentaires

  1. D'un, durant la decennie noire, et des meurtres quotidiens, aucune entité étrangère n'a parlé d'intervenir.
    De deux, le Hirak a montré à quel point les algériens vivant en Algérie tiennent à garder leur pays uni et respectueux de la diversité, et dans un climat pacifique, on voit mal les gens entrer dans des combats, si quelques personne, a fortiori des marocains, commençaient les hostilités.
    Le crime contre le défunt Djamel BenSmail, lah yerahmou, a marqué les esprits. Les gens vont garder les conflits dans un très petit cercle, et faire en sorte de les arrêter.
    On croit que les algériens sont montés les uns contre les autres sur les réseaux sociaux. En réalité, il s'agit de personnes vivant à l'étranger, dont les propos ne trompent pas sur leur tendance politique : makistes et rashadistes, qui diffusent leur propagande habituelle. L'islamisme a fortement repris, depuis l'étranger, et ceux qui suivent les nouveaux savants, qui appellent à la "hijra", et à l'appel de l'imam Mehdi, ne savent pas, par manque de culture, que toute cette idéologie n'a plus droit de cité en Algérie.
    Alors, oui, l'Algérie est la cible de plusieurs états. De par ses très grandes richesses, elle attire les convoitises. En particulier parce que nous sommes dans un contexte où l'économie de la France et du Maroc sont précaires, et la crise sociale dans ces deux pays risque d'éclater à tout moment.
    Faire en sorte d'occuper leur population du leur ennemi commun, calmerait un peu la faim de leurs peuples.
    Mais ce qu'ils ne savent pas, ni Israel non plus, c'est que les algériens se lèveront comme un seul homme, de l'Est à l'Ouest, du Nord au Sud, les jeunes, les vieux, les femmes, les hommes, y compris les enfants, armés de bâtons ou de leurs poings, pour combattre, aux côtés de nos armées.
    Il n'y aura pas un algérien qui restera passif, à regarder des ennemis venir manger nos richesses. Ni à Alger, ni à Oran, ni dans un seul village en Kabylie, ni nulle part dans le reste du pays.
    On est prêts. Personne ne foulera un seul cm de la terre de nos ancêtres.

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