Relations commerciales de l'Algérie avec l'Espagne : l'Algérie ne recule pas et ira jusqu'au bout pour défendre ses intérêts vitaux
Plusieurs médias hostiles, notamment marocains, ont collporté une prétendue reculade de l’Algérie concernant ses relations commerciales avec l'Espagne. D'après les informations que nous avons pu obtenir auprès des autorités compétentes, l'Algérie ne compte pas revoir sa position vis-à-vis de l'Espagne, car il n'y a eu aucun changement sur les causes qui ont mené l'Algérie à suspendre le Traité d’amitié et de bon voisinage avec l'Espagne.
Ce qui reste étonnant c'est le manque de professionalisme de plusieurs médias étranger et nationaux, qui ont repris un communiqué de l'Association des banques et établissements financiers (ABEF), pour produire des conclusions complètement farfelues et inconséquentes
Ce qui reste étonnant dans cette affaire, c'est
le manque de professionnalisme de plusieurs médias étrangers et nationaux, qui
ont repris un communiqué de l'Association des banques et établissements
financiers (ABEF). L'ABEF, pour faire des conclusions complètement farfelues et
inconséquente. Il est de notoriété publique que seul le ministère des Finances
ou la Banque d’Algérie sont habilités à se prononcer sur les questions
financières et commerciales qui engagent l’Etat algérien. En dehors de ces deux
organismes, aucun journaliste professionnel ne peut arriver aux conclusions que
nous avons pu lire dans plusieurs organes de presse. Même la ministre de la Défense
espagnole et le sinistre ministre des Affaires étrangères espagnol ont été
induits en erreur, et se sont féliciter de la fausse reculade algérienne.
Nous avons toutes les raisons de penser que
certains membres de l’ABEF ont essayé de manière peu intelligente de forcer la
main à l’Algérie et la mettre devant le fait-accompli pour reprendre les
relations commerciales avec l’Espagne. En effet, L'ABEF est une association
regroupant une trentaine de banques et établissements financiers activant en
Algérie, dont une dizaine étrangère, notamment les deux banques françaises :
BNP PARIBAS et Société Générale. Les enjeux financiers liés au commerce extérieur
sont très importants pour les banques privées étrangères, car les revenus
engrangés grâce aux lettres de crédit et crédits documentaires représentent
plus de 50% du produit net bancaire (PNB) de ces banques. Nous espérons que l’Algérie
fera toute la lumière sur cette affaire, afin de comprendre comment un tel
communiqué a pu être émis dans le contexte de crise diplomatique avec l’Espagne.
Pour finir, l’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune n’est
pas celle de Bouteflika. La nouvelle Algérie est une Algérie forte qui n’accepte
pas qu’on touche à ses intérêts vitaux : le Sahara occidental est une
question de sécurité nationale pour l’Algérie, nos partenaires étrangers doivent
le comprendre et l’intégrer. Toutes initiative contraire au droit international
et qui porte préjudice à nos partenaires sahraouis, sera perçu par l’Algérie
comme un acte hostile, qui méritera une réponse énergique et incisive.
Juste pour rappeler le fait que dans son immense majorité la société civile et politique espagnole est pour l'indépendance de la Rasdp. Le peuple espagnol fera payer très cher à Sanchez lors des prochaines élections ses bourdes incommensurables faites dans le dossier sahraoui et algerien.
RépondreSupprimerPar ailleurs je voudrais dire que je suis étonné et déçu par le peu de commentaires qui sont laissés sur blog.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerL’avenir politique de Sanchez est plus qu’incertain ! Retourner sa veste et miser sur le mauvais cheval ! Il a tout perdu avec l’Algérie et bientôt son fauteuil ministériel !!
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